Nous sommes à quelques jours de Noël et comme par les années passées, nous préparons une fête de Noël pour 350 enfants, ceux de l’orphelinat Hogar Miguel Magone et du milieu environnant.
Cet orphelinat fut le premier projet que Roger a pris sous son aile en 1999. Depuis, les choses ont bien évoluées et nous avons été à même de le constater lors de notre visite. C’est impressionnant de voir tout le travail accompli dans des conditions pas toujours faciles. Même ceux qui n’y ont pas participé directement ressentent une fierté devant une telle réalisation.
Les préparatifs pour la fête vont bon train! Nous avons besoin de 350 hot-dogs, salade de chou et les condiments nécessaires pour garnir le tout ainsi qu’un breuvage pour c
hacun d’eux. En plus, nous prévoyons des sacs de bonbons pour chaque enfant. Il ne faut pas oublier les gros sacs de toutous reçus du Québec par containers pour toute cette belle marmaille. Tous donnent un coup de main pour charger l’autobus et nous partons gaiement déguisés avec nos tuques de Noël et le superbe Paillasson.
Arrivés sur place, on sent une certaine fébrilité. Les enfants sont
impressionnés par tout ce qui sort de l’autobus et nous sommes accueillis par de nombreux ‘‘Wow!’’. Par la suite, plusieurs commencent les préparatifs pour le dîner tandis que d’autres font un tour guidé des lieux. Nous nous amusons avec les enfants afin de mieux se connaître.
Plusieurs bénévoles dans la cuisine sont tellement occupés à suivre le rythme afin de nourrir ces petits estomacs, qu’ils ne peuvent momentanément partager le plaisir que j’ai d’être assis avec tous ces enfants à une table et d’être un témoin privilégié de leur joie. Par contre, peu importe notre tâche, chacun de nous est heureux de voir tous ces petits visages s’épanouir.
Le repas terminé, nous nous dirigeons dans une autre salle pour la
distribution des toutous. Dianne Martinez, notre clown de service, attire bien des regards et des sourires radieux. Chaque enfant reçoit un toutou qu’il serre bien fort sur son cœur ainsi qu’un sac de bonbons.
La fête tire à sa fin, l’autobus se rempli et nous faisons nos adieux aux enfants. Tous sont heureux d’avoir participé à la réussite de cet événement. Nous partons pour la casa le cœur en fête et nous nous disons à l’année prochaine.
Les préparatifs pour la fête vont bon train! Nous avons besoin de 350 hot-dogs, salade de chou et les condiments nécessaires pour garnir le tout ainsi qu’un breuvage pour c
hacun d’eux. En plus, nous prévoyons des sacs de bonbons pour chaque enfant. Il ne faut pas oublier les gros sacs de toutous reçus du Québec par containers pour toute cette belle marmaille. Tous donnent un coup de main pour charger l’autobus et nous partons gaiement déguisés avec nos tuques de Noël et le superbe Paillasson.Arrivés sur place, on sent une certaine fébrilité. Les enfants sont
impressionnés par tout ce qui sort de l’autobus et nous sommes accueillis par de nombreux ‘‘Wow!’’. Par la suite, plusieurs commencent les préparatifs pour le dîner tandis que d’autres font un tour guidé des lieux. Nous nous amusons avec les enfants afin de mieux se connaître.Plusieurs bénévoles dans la cuisine sont tellement occupés à suivre le rythme afin de nourrir ces petits estomacs, qu’ils ne peuvent momentanément partager le plaisir que j’ai d’être assis avec tous ces enfants à une table et d’être un témoin privilégié de leur joie. Par contre, peu importe notre tâche, chacun de nous est heureux de voir tous ces petits visages s’épanouir.
Le repas terminé, nous nous dirigeons dans une autre salle pour la
distribution des toutous. Dianne Martinez, notre clown de service, attire bien des regards et des sourires radieux. Chaque enfant reçoit un toutou qu’il serre bien fort sur son cœur ainsi qu’un sac de bonbons.La fête tire à sa fin, l’autobus se rempli et nous faisons nos adieux aux enfants. Tous sont heureux d’avoir participé à la réussite de cet événement. Nous partons pour la casa le cœur en fête et nous nous disons à l’année prochaine.
Yves Guay
